À l’aube de la retraite, nombreux sont ceux qui se demandent s’il est encore temps de se lancer dans l’aventure de l’investissement immobilier. Chez Ashler & Manson, nous vous guidons à travers les différentes options qui s’offrent à vous, pour transformer ces questionnements en un projet réalisable.

L’idée de se lancer dans l’achat d’un bien immobilier après 60 ans peut sembler intimidante, mais elle est loin d’être irréalisable. Certes, le parcours est semé d’embûches, notamment avec les aspects pratiques qui peuvent peser davantage avec l’âge. La gestion du bien, le suivi des travaux ou encore la participation aux assemblées générales de copropriété requièrent temps et énergie.

Des défis à relever

Pour les seniors, les attraits financiers d’un tel investissement peuvent sembler limités. Entre la diminution potentielle du rendement locatif, une fiscalité plus lourde et l’obligation de se conformer aux dernières normes énergétiques, les contraintes ne manquent pas. À cela s’ajoute un accès au crédit rendu plus complexe par l’augmentation des taux d’intérêt et la réduction des durées de prêt envisageables.

Envisager un financement alternatif

Heureusement, il existe des solutions pour contourner ces obstacles. Après 60 ans, certains peuvent être tentés de bouder les prêts immobiliers classiques, surtout à cause du taux d’usure, qui peut constituer un frein. Un prêt « in fine » peut parfois se présenter comme une option viable pour ceux qui bénéficient d’une épargne solide.

Ce dispositif financier permet de séparer le paiement des intérêts du remboursement du capital. Pendant la durée du prêt, seuls les intérêts sont dus, tandis que votre épargne est placée dans un produit rémunérateur, comme une assurance-vie. Cela facilite la constitution du capital nécessaire au remboursement final du prêt.

Une autre voie à explorer est celle du prêt hypothécaire cautionné, qui s’adresse à ceux qui possèdent déjà un bien. Ce type de prêt à l’avantage de ne pas requérir de souscription à une assurance, et le montant empruntable est calculé sur la base de 70 % de la valeur de l’hypothèque.

La solution des SCPI

Enfin, pour ceux à la recherche d’une option d’investissement immobilier moins contraignante en termes de gestion, les Sociétés civiles de placement immobilier (SCPI), ou « pierre-papier », offrent une belle alternative. En investissant dans une SCPI, vous acquérez des parts d’un parc immobilier dont vous percevez les revenus, sans avoir à gérer les biens directement.

La gestion est assurée par une société réglementée par l’Autorité des marchés financiers (AMF), vous assurant tranquillité d’esprit et sécurité. Les parts de SCPI se situent généralement entre 150 et 1 000 euros, avec un rendement qui peut s’élever de 4 à 7 %, en fonction des performances.

Comme tout investissement, il est crucial de s’informer minutieusement sur la SCPI choisie et la société de gestion. Chez Ashler & Manson, nous sommes là pour vous accompagner dans cette démarche, vous assurant un investissement réfléchi et adapté à votre situation.

Conclusion

Investir dans l’immobilier après 60 ans est non seulement possible, mais cela peut également se révéler être une stratégie enrichissante. Avec les bons conseils et les solutions financières adaptées, vos années de retraite peuvent devenir une période d’opportunités et de croissance. Ashler & Manson est à vos côtés pour faire de cet investissement une réalité sereine et profitable.